Épisode #113: Alerte, notre moto est disparue
Notre séjour d’une semaine à Ixtapa-Zihuatanejo tire presque à sa fin, en fait il ne nous reste plus que deux jours et nous nous apprêtons à nous mettre en route pour la très célèbre Acapulco.
Dommage car nous étions si bien installés. Mon mal de genoux était pratiquement disparu grâce aux précieux services de « ilda ». Oh! Je ne vous ai pas parlé d’Ilda? Eh! bien, c’est ma masseuse mexicaine! Au cours des 5 derniers jours, à 16 heures pile, je me pointe à l’autre bout de la plage où une tente a été dressée qui abrite du soleil et des curieux les 2 lits de massage recouverts d’un matelas moelleux eux-mêmes recouverts de draps propres changés régulièrement par 2 masseuses mexicaines.
Bon, ça va, ça va, je vois déjà certains esprits mal tournés qui ne doivent pas manquer de faire un certain rapprochement entre Ixtapa et… la Thaïlande mais « honni soit celui qui mal y pense » ! Pour qui me prenez-vous? Depuis mon accident de scooter de l’année dernière au Québec où nous étions tombés littéralement dans un trou à 22 heures parce que l’épaisseur d’asphalte de la rue avait été enlevée sans qu’une enseigne quelconque ne l’indique ni qu’aucun clignotant ni lampadaire ne vienne éclairer ce trou la nuit, provoquant ainsi notre chute sans avertissement et un atterrissage plutôt brutal! Depuis ce temps, les ligaments de mes genoux me font souffrir. Ceux qui s’y connaissent savent que « les ligaments », c’est long à revenir surtout passé la cinquantaine.
Dommage car nous étions si bien installés. Mon mal de genoux était pratiquement disparu grâce aux précieux services de « ilda ». Oh! Je ne vous ai pas parlé d’Ilda? Eh! bien, c’est ma masseuse mexicaine! Au cours des 5 derniers jours, à 16 heures pile, je me pointe à l’autre bout de la plage où une tente a été dressée qui abrite du soleil et des curieux les 2 lits de massage recouverts d’un matelas moelleux eux-mêmes recouverts de draps propres changés régulièrement par 2 masseuses mexicaines.
Bon, ça va, ça va, je vois déjà certains esprits mal tournés qui ne doivent pas manquer de faire un certain rapprochement entre Ixtapa et… la Thaïlande mais « honni soit celui qui mal y pense » ! Pour qui me prenez-vous? Depuis mon accident de scooter de l’année dernière au Québec où nous étions tombés littéralement dans un trou à 22 heures parce que l’épaisseur d’asphalte de la rue avait été enlevée sans qu’une enseigne quelconque ne l’indique ni qu’aucun clignotant ni lampadaire ne vienne éclairer ce trou la nuit, provoquant ainsi notre chute sans avertissement et un atterrissage plutôt brutal! Depuis ce temps, les ligaments de mes genoux me font souffrir. Ceux qui s’y connaissent savent que « les ligaments », c’est long à revenir surtout passé la cinquantaine.
Alors, j’ai donc chargé Ilda de voir à la chose. Ilda possède des mains et des bras fermes et ça se voit aussitôt qu’elle vous sert la main, voilà pourquoi je l’ai choisi plutôt que l’autre masseuse. J’ai pensé que mes tensions et mes genoux seraient mieux servis par quelqu’un qui masse vraiment fort. Et en 5 jours de traitements (des plus honnêtes j’insiste), je dois admettre que cette petite gâterie a fait le plus grand bien à mes genoux. En fait, ma motivation secondaire a été le prix : chaque session durait au moins 1 heure sinon plus et ne me coûtait que 20$, comparé au Québec où pour la même chose, j’aurais dû débourser au moins 60$. Mes genoux sont maintenant… pratiquement sur pied!
J’ai également profité de mon passage à Zihuatanejo pour faire effectuer sur notre moto Ti-Mo certaines réparations, révisions et peinture. Sur l’autoroute reliant Cuauhtémoc à Chihuahua, en provenance de Creel, des employés de la voirie ont étendu de la pierre concassée mêlée avec du goudron tout en laissant les véhicules continuer de circuler. Ti-Mo et son élévateur en ont pris tout un coup en ce qui concerne leur peinture!
C’est Armando qui me recevra, un mécanicien travaillant dans un tout petit atelier, en fait un espace de garage simple transformé et ayant pignon sur une rue secondaire à l’entrée de la ville. Armando me fait bonne impression et semble bien s’y connaître. Je négocie tout de même un peu, Mexique oblige, ne sachant pas que Armando est le frère d’Emilio, le propriétaire de l’autre atelier de réparations de moto de la ville. Après s’être entendu sur le prix du changement d’huile, 4 bougies, filtres à l’huile et les 2 à essence, peinture et polissage complet de tout l’aluminium des fourches, des jantes, des moflès ainsi que de la peinture de tout le moteur et du « simoniz-compound » à la grandeur, le tout pour l’astronomique somme de ……130$ ! Marché conclu!
C’est donc le lendemain matin, vendredi, que je vais porter Ti-Mo à Armando qui me dit qu’elle sera prête le lendemain, samedi, vers 16h puisque lui-même et un autre employé effectueront l’ouvrage. Le lendemain, je me pointe à 16h pour m’apercevoir que le travail sur la moto, quoique assez avancé, n’est pas complété. Armando s’excuse et m’explique qu’il y a pas mal plus d’ouvrage que prévu et qu’il aurait besoin d’une journée de plus et que demain, dimanche, il viendra porter lui-même la moto à Playa Linda à 13h pour compenser. Pas de problème, Ti-Mo m’apparaissant déjà comme une nouvelle mariée si je puis dire et brille pratiquement de tous ses feux, à mon grand ravissement! Alors, une journée de plus……….
Le lendemain, dimanche, vers 13h10, l’autre employé se pointe avec un petit « moped » en me disant qu’Armando ne devrait pas tarder et qu’il le ramènera à Playa Linda.
À 14h, pas d’Armando.
15h et 16h passent et je commence à penser que quelque chose ne va pas, pas un accident j’espère car je serais bien embêté, Ti-Mo étant notre seul moyen de locomotion hors VR. Mais non, c’est « l’horaire mexicain » je me dis. Entre-temps, l’autre employé est bien venu une couple de fois vérifier si Armando était passé et décide de rôder autour. 17h arrive et toujours pas de nouvelle du satané Armando.
À 18h et considérant qu’il fera noir dans moins d’une heure, je me rends illico au poste de Policia Turistica situé sur les lieux de Playa Linda et j’explique la situation : ma moto est disparue! Heureusement que j’avais insisté pour avoir un accusé réception de la moto et du travail à effectué, ce qui me donne une preuve quelconque…et une signature! Je porte donc plainte à la police.
Après avoir attendu quelques minutes, voilà la patrouille qui arrive, un pick-up bondé d’au moins 5 ou 6 policiers armés de fusils, machettes et carabines. Conciliant, Roberto qui semble être le jefe (prononcez héfé, chef), avec une généreuse bedaine et son air super macho, nous voilà tous partis, moi à l’intérieur de la cabine du pick-up identifié aux couleurs de la policia avec Luis le chauffeur, accompagné de 5 carabinieris dans la boite à l’arrière en route pour l’atelier d’Armando; arrivé sur place : personne et tout est fermé! Deuxième arrêt : l’atelier du frère d’Armando, Emilio : personne non plus! Faut dire que c’est dimanche me dis-je pour m’apaiser un peu les esprits de mon angoisse croissante. On essaie alors de joindre un des frères d’un des employés d’Emilio qui serait policier mais non rejoignable. Dommage car il nous aurait peut-être permis de remonter jusqu’au numéro de téléphone d’Armando et savoir ce qui se passe.
Après quelques heures à rouler en vain, il est maintenant 21h et je suis toujours en alerte « orange ». Et toujours pas de Ti-Mo! La troupe se remet de nouveau en route pour Playa Linda, Roberto le jéfé me disant que demain je pourrai aller à l’Officina de Turismo à Ixtapa et de là eux vont pouvoir décider de la marche à suivre. De retour à Ixtapa, quelques appels sont logés d’un téléphone public sans doute pour mettre son patron au courant de l’incident et rapporter qu’il a ici un canadiense gringo pas trop facile à manier qui insiste pour régler le problème le soir même! Dans mon idée, plus on attend, plus on laisse de temps à Armando de….. je ne sais quoi! On se remet en route encore une fois pour Zihuatanejo où nous nous dirigeons vers un bureau touristique ouvert le dimanche soir : enfin, on aura des décisions qui se prendront! Arrivés sur place, surprise de taille : tout est fermé, je fulmine littéralement! Cette fois, je dois me résigner et attendre au lendemain. Nous repartons tous dans un silence glacial. Nous passons dans un dédale de rues microscopiques pour aller reprendre la route principale qui nous ramènera à Ixtapa.
Soudain, en tournant sur les chapeaux de roues, je crois voir une moto dont les phares sont allumés au milieu de l’autre coin de rue et qui pourrait à la limite ressembler à Ti-Mo mais à quelques 300 pieds et en plein noirceur……..si ce n’était pas des clignotants jaunes qui me semblent avoir un air de famille….. Alto, Luis, peut-être este ma moto? Je gesticule de reculer et aller voir. Soudain cette moto se remet en marche et Luis lui bloque la rue et je sursaute : es ma moto! C’est ma moto! Je n’en reviens tout simplement pas! La trouver ici à 22h, en pleine noirceur, dans cette ville de près de 60,000 habitants, quelle chance incroyable!
J’ai également profité de mon passage à Zihuatanejo pour faire effectuer sur notre moto Ti-Mo certaines réparations, révisions et peinture. Sur l’autoroute reliant Cuauhtémoc à Chihuahua, en provenance de Creel, des employés de la voirie ont étendu de la pierre concassée mêlée avec du goudron tout en laissant les véhicules continuer de circuler. Ti-Mo et son élévateur en ont pris tout un coup en ce qui concerne leur peinture!
C’est Armando qui me recevra, un mécanicien travaillant dans un tout petit atelier, en fait un espace de garage simple transformé et ayant pignon sur une rue secondaire à l’entrée de la ville. Armando me fait bonne impression et semble bien s’y connaître. Je négocie tout de même un peu, Mexique oblige, ne sachant pas que Armando est le frère d’Emilio, le propriétaire de l’autre atelier de réparations de moto de la ville. Après s’être entendu sur le prix du changement d’huile, 4 bougies, filtres à l’huile et les 2 à essence, peinture et polissage complet de tout l’aluminium des fourches, des jantes, des moflès ainsi que de la peinture de tout le moteur et du « simoniz-compound » à la grandeur, le tout pour l’astronomique somme de ……130$ ! Marché conclu!
C’est donc le lendemain matin, vendredi, que je vais porter Ti-Mo à Armando qui me dit qu’elle sera prête le lendemain, samedi, vers 16h puisque lui-même et un autre employé effectueront l’ouvrage. Le lendemain, je me pointe à 16h pour m’apercevoir que le travail sur la moto, quoique assez avancé, n’est pas complété. Armando s’excuse et m’explique qu’il y a pas mal plus d’ouvrage que prévu et qu’il aurait besoin d’une journée de plus et que demain, dimanche, il viendra porter lui-même la moto à Playa Linda à 13h pour compenser. Pas de problème, Ti-Mo m’apparaissant déjà comme une nouvelle mariée si je puis dire et brille pratiquement de tous ses feux, à mon grand ravissement! Alors, une journée de plus……….
Le lendemain, dimanche, vers 13h10, l’autre employé se pointe avec un petit « moped » en me disant qu’Armando ne devrait pas tarder et qu’il le ramènera à Playa Linda.
À 14h, pas d’Armando.
15h et 16h passent et je commence à penser que quelque chose ne va pas, pas un accident j’espère car je serais bien embêté, Ti-Mo étant notre seul moyen de locomotion hors VR. Mais non, c’est « l’horaire mexicain » je me dis. Entre-temps, l’autre employé est bien venu une couple de fois vérifier si Armando était passé et décide de rôder autour. 17h arrive et toujours pas de nouvelle du satané Armando.
À 18h et considérant qu’il fera noir dans moins d’une heure, je me rends illico au poste de Policia Turistica situé sur les lieux de Playa Linda et j’explique la situation : ma moto est disparue! Heureusement que j’avais insisté pour avoir un accusé réception de la moto et du travail à effectué, ce qui me donne une preuve quelconque…et une signature! Je porte donc plainte à la police.
Après avoir attendu quelques minutes, voilà la patrouille qui arrive, un pick-up bondé d’au moins 5 ou 6 policiers armés de fusils, machettes et carabines. Conciliant, Roberto qui semble être le jefe (prononcez héfé, chef), avec une généreuse bedaine et son air super macho, nous voilà tous partis, moi à l’intérieur de la cabine du pick-up identifié aux couleurs de la policia avec Luis le chauffeur, accompagné de 5 carabinieris dans la boite à l’arrière en route pour l’atelier d’Armando; arrivé sur place : personne et tout est fermé! Deuxième arrêt : l’atelier du frère d’Armando, Emilio : personne non plus! Faut dire que c’est dimanche me dis-je pour m’apaiser un peu les esprits de mon angoisse croissante. On essaie alors de joindre un des frères d’un des employés d’Emilio qui serait policier mais non rejoignable. Dommage car il nous aurait peut-être permis de remonter jusqu’au numéro de téléphone d’Armando et savoir ce qui se passe.
Après quelques heures à rouler en vain, il est maintenant 21h et je suis toujours en alerte « orange ». Et toujours pas de Ti-Mo! La troupe se remet de nouveau en route pour Playa Linda, Roberto le jéfé me disant que demain je pourrai aller à l’Officina de Turismo à Ixtapa et de là eux vont pouvoir décider de la marche à suivre. De retour à Ixtapa, quelques appels sont logés d’un téléphone public sans doute pour mettre son patron au courant de l’incident et rapporter qu’il a ici un canadiense gringo pas trop facile à manier qui insiste pour régler le problème le soir même! Dans mon idée, plus on attend, plus on laisse de temps à Armando de….. je ne sais quoi! On se remet en route encore une fois pour Zihuatanejo où nous nous dirigeons vers un bureau touristique ouvert le dimanche soir : enfin, on aura des décisions qui se prendront! Arrivés sur place, surprise de taille : tout est fermé, je fulmine littéralement! Cette fois, je dois me résigner et attendre au lendemain. Nous repartons tous dans un silence glacial. Nous passons dans un dédale de rues microscopiques pour aller reprendre la route principale qui nous ramènera à Ixtapa.
Soudain, en tournant sur les chapeaux de roues, je crois voir une moto dont les phares sont allumés au milieu de l’autre coin de rue et qui pourrait à la limite ressembler à Ti-Mo mais à quelques 300 pieds et en plein noirceur……..si ce n’était pas des clignotants jaunes qui me semblent avoir un air de famille….. Alto, Luis, peut-être este ma moto? Je gesticule de reculer et aller voir. Soudain cette moto se remet en marche et Luis lui bloque la rue et je sursaute : es ma moto! C’est ma moto! Je n’en reviens tout simplement pas! La trouver ici à 22h, en pleine noirceur, dans cette ville de près de 60,000 habitants, quelle chance incroyable!
Tout le monde débarque sur le sentier de guerre. Imaginez, 5 soldats-policiers armés jusqu’aux dents qui entourent le chauffeur et je reconnaît là Armando qui tente d’expliquer aux policiers que ce n’est pas grave, qu’il a un très gros mal de dents, qui me semble être en état d’ébriété et qui me demande d’un air débonnaire de retirer ma plainte appuyé de quelques-uns de ses amis accourus près de nous. Qu’il va m’expliquer, me montre ma moto qui ne semble n’avoir rien de plus d’effectué comme travail que la veille mais je réalise en vérifiant l’odomètre qu’il a roulé plus de 200 kms et la lumière d’essence est allumée et doit l’être depuis un sacré bout de temps! Il doit rouler sur les vapeurs d’essence! Je demande des explications mais rien ne sort de lui, alors les policiers le saisissent par les bras et le font monter dans le pick-up. J’enfile Ti-Mo et je les suis, ne sachant trop où cela va me mener mais avec la peur maintenant de manquer d’essence!
5 minutes plus tard, nous voilà tous à traverser une guérite gardé par une multitude de soldats-policiers et nous entrons dans un immense immeuble : le Ministerio de la Justicia! Merde, on va passer devant le juge! On passe tous dans un petit bureau et un avocat de la Couronne nous reçoit, pose des questions aux policiers, puis à Armando, pour finalement me demander ce que je veux qu’il fasse? Est-ce que je désire qu’on l’enferme pour 24h? Bon, je suis en rogne mais de là à le faire enfermer…. Je demande s’il a une épouse, des enfants, à la surprise de tous de constater qu’après tout……. Armando baragouine qu’il a 2 enfants mais sur un ton qui ne convainc personne. Il me demande de retirer la plainte quelque chose comme 10 fois en 10 minutes.
5 minutes plus tard, nous voilà tous à traverser une guérite gardé par une multitude de soldats-policiers et nous entrons dans un immense immeuble : le Ministerio de la Justicia! Merde, on va passer devant le juge! On passe tous dans un petit bureau et un avocat de la Couronne nous reçoit, pose des questions aux policiers, puis à Armando, pour finalement me demander ce que je veux qu’il fasse? Est-ce que je désire qu’on l’enferme pour 24h? Bon, je suis en rogne mais de là à le faire enfermer…. Je demande s’il a une épouse, des enfants, à la surprise de tous de constater qu’après tout……. Armando baragouine qu’il a 2 enfants mais sur un ton qui ne convainc personne. Il me demande de retirer la plainte quelque chose comme 10 fois en 10 minutes.
Après discussion et voulant tout de même qu’il puisse terminer mon travail (j’ai déjà donné 700 pesos en dépôt), je retire ma plainte et le voilà libre. Après tout, j’ai retrouvé ma moto et c’est ça en fait le plus important! Pas méchant bougre malgré tout. Plutôt insouciant mais pas malin pour 5 sous : il voulait me la ramener le lendemain car dimanche c’est la journée de congé avec les amis! Il a sans doute voulu se pavaner avec une belle moto de gringo devant ses amis! Je pense qu’il va retenir la leçon! Je lui fais la morale sur le danger de conduire une moto, sans casque, avec 5 ou 6 bières dans le corps : ça n’a pas l’air de le déranger trop trop……. Ti-Mo n’était pas assuré contre le vol au Mexique: pas assez récente m’ont dit les assurances! Fiaou! Échappé belle!
Nous sortons tous les deux ensemble du Palais de Justice, Armando et moi et, sur le parquet, il me demande de lui donner un « lift » jusqu’à chez lui. Ça alors! Il est culotté celui-là! Vous le croirez pas, mais je lui ai donné son christie de lift… après avoir fait le plein de 100 pesos d’essence! Cabròne!
Les 2 matins qui ont suivi m’ont vu aller porter ma moto chez Armando pour terminer la job…mais je gardais les clés!
Comme une neuve maintenant!
Tout est bien qui finit bien!
Quelle aventure!
Viva el Mexico!
Maintenant, en route pour Acapulco!
Pierre et Marie
Les Los Nomadès en action!
Nous sortons tous les deux ensemble du Palais de Justice, Armando et moi et, sur le parquet, il me demande de lui donner un « lift » jusqu’à chez lui. Ça alors! Il est culotté celui-là! Vous le croirez pas, mais je lui ai donné son christie de lift… après avoir fait le plein de 100 pesos d’essence! Cabròne!
Les 2 matins qui ont suivi m’ont vu aller porter ma moto chez Armando pour terminer la job…mais je gardais les clés!
Comme une neuve maintenant!
Tout est bien qui finit bien!
Quelle aventure!
Viva el Mexico!
Maintenant, en route pour Acapulco!
Pierre et Marie
Les Los Nomadès en action!
La semaine prochaine : Alerte, notre moto est disparue