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Les gens retraités en VR vivent heureux !

Deux anthropologues ont mené une étude sur les campeurs. Devinez ce qu’ils ont découvert? Les campeurs et les caravaniers sont heureux!
Selon la toute première étude anthropologique menée sur les propriétaires de VR, les gens voyageant en véhicule récréatif affirment se sentir plus en santé, physique et mentale, qu’ils ne le seraient s’ils menaient une vie plus sédentaire.
David Counts, docteur en anthropologie et professeur de l’Université McMaster, et Dorothy Counts, également docteure en anthropologie et professeure de l’Université Waterloo, vivent tous deux en Ontario et ont passé 20 ans de leur vie à étudier la société papouane-néo-guinéenne. Depuis 1990, ils s’intéressent au continent nord-américain et ont depuis réalisé deux études anthropologiques traitant de la possession d’un VR et des voyages à bord de ceux-ci. « Ce que nous avons découvert en Amérique du Nord a suscité plus d’intérêt que chacune de nos études effectuées en Nouvelle-Guinée », mentionne David.

image002.jpg« Les campeurs et caravaniers interrogés dans le cadre de notre étude se sentent plus en santé qu’ils ne le seraient s’ils ne voyageaient pas en VR. Sans être trop épuisantes, les tâches ménagères et les activités qui font partie de la vie des campeurs gardent leur mode de vie actif. Vivre dans un véhicule récréatif incite aussi les gens à visiter des endroits et à faire des activités qui les gardent en forme, comme faire de la randonnée pédestre dans un parc national », souligne Dorothy Counts. « Voir de nouveaux visages, visiter de nouveaux endroits, participer à de nouvelles activités et conduire d’une place à l’autre aident les campeurs à demeurer vif d’esprit », ajoute David Counts.


image002.jpg« De plus, voyager en VR est moins stressant puisque l’on voyage avec sa propre maison », mentionne Dorothy. Les Counts ont remarqué que les campeurs citaient ce facteur réducteur de stress parmi ceux contribuant à leurs sentiments de vitalité et de santé. Ils croient aussi que lorsque le stress associé au déplacement est éliminé, les gens se rendent souvent compte que le voyage en soi est une aventure.

Les Counts affirment que la vie en VR procure un formidable sentiment de liberté. « Vous maîtrisez parfaitement votre vie lorsque vous voyager à bord de votre VR, mentionne Dorothy, vous avez l’autonomie et la possibilité de faire ce que vous voulez, quand vous le voulez et où vous le voulez ».

« Nous trouvons ironique qu’être propriétaire d’un VR ne soit pas seulement un moyen permettant d’adopter un mode de vie extrêmement indépendant et autosuffisant, mais aussi un point commun entre les membres d’une importante communauté, voire même sa raison d’être. », souligne David. En étudiant la formation de cette collectivité, les Counts ont découvert une caractéristique propre aux campeurs : « Les gens que nous avons interrogés essaient de faire revivre les vieilles valeurs américaines. Ils misent sur l’ouverture d’esprit et la confiance qui, selon eux, sont des valeurs que l’on ne retrouve plus dans les grandes villes et les banlieues », soutient David. 

« Nos observations nous ont permis de déterminer trois facteurs clés contribuant à mener une retraite heureuse : avoir la maîtrise sa vie, exercer des activités intéressantes et stimulantes et fréquenter des amis en dehors du cercle familial, mentionne David. Nous croyons que vivre à bord d’un VR est une excellente manière de concilier ces facteurs. »

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Afin de mener leurs recherches, les Counts ont parcouru les États-Unis et le Canada à bord d’une caravane de 18 pieds et ont vécu et socialisé avec les gens qu’ils étudiaient (principalement des campeurs à temps plein). Ils se sont joints aux Escapees, une importante organisation nationale regroupant essentiellement des gens vivant en permanence dans leur VR, et ont remarqué que la majorité d’entre eux se faisaient un plaisir de répondre à leurs questions. « Ils disaient qu’il était enfin temps qu’une personne n’appartenant pas à leur communauté s’intéresse à la vie qu’ils mènent », a écrit Dorothy dans leur livre Over the Next Hill, an ethnography of RVing seniors in North America.

Après plusieurs années d’étude, les Counts ont conclu que les campeurs ressentent un plus grand sentiment d’appartenance et moins de problèmes émotionnels associés à la vieillesse que ceux qui ont choisi de vivre leur retraite autrement.

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